Le saviez vous ?
Les premières liqueurs se caractérisaient surtout par une saveur âpre  jusqu'à ce qu'on songe à les adoucir avec du sirop de canne à sucre, puis du sucre. Dès lors, plus question de concevoir une liqueur sans son ajout sucré.
 Depuis le 28 juillet 1908, un décret gouvernemental définit d’ailleurs précisément l’appellation "liqueur", et notamment la teneur minimale en sucre exigée dans sa production. Pour bénéficier de l’appellation officielle, une liqueur doit ainsi contenir au moins 100 grammes de sucre par litre (teneur exprimée en sucre inverti).
 Pour les crèmes, ce minimum est porté à 250 grammes de sucre par litre, à l’exception de la crème de cassis qui doit en contenir un minimum de 400 g/l. Il existe toutefois quelques dérogations. Ainsi pour la gentiane, la teneur en sucre minimale est abaissée à 80 g/l si la liqueur est élaborée sans autre substance aromatisante que la gentiane.
 Enfin, pour les liqueurs de cerise, la teneur en sucre minimale est abaissée à 70 g/l si l’alcool éthylique du produit est constitué exclusivement par une eau-de-vie de cerises. Quant au titre alcoométrique volumique de la liqueur, celui-ci doit être de 15 % au minimum pour être conforme à la norme admise par l’Union européenne.
 
CREMES & LIQUEURS
 Un peu d'histoire :
 
C'est aux marchands hollandais du milieu du 17e siècle que l'on attribue l'idée de faire macérer dans l’alcool les substances végétales les plus diverses afin d’en extraire la quintessence aromatique. Soucieux de tirer ainsi profit de leurs invendus et des bigarades impropres à la consommation après le long voyage des îles, ils ne se doutaient pas que leur découverte était appelée à régaler de nombreux amateurs, attirés par ce qui fait le charme premier des crèmes et liqueurs : des boissons légèrement alcoolisées, offrant une gamme de couleurs et de saveurs quasiment infinie.
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05/03/2012  Ils nous font confiance  : 123 Alsace, Chocolaterie de Marlieu
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